Pourquoi adhérer ?
10 raisons d’adhérer au SNCTA
Le SNCTA défend et met en valeur avec fierté une profession à hautes responsabilités, sans préjugés ni considérations politiques. À l’écoute des contrôleurs, il apprend de son passé et affiche son ambition pour construire l’avenir.
Le SNCTA défend une politique forte de mobilité pour que les contrôleurs aient du choix : variété et quantité sont ses objectifs. Il s’oppose à toute politique visant à restreindre la mobilité qu’elle soit une volonté de la DSNA ou une idée clientéliste d’un autre syndicat.
Le SNCTA renseigne, conseille et accompagne. Il fait partager à tous les contrôleurs son expertise reconnue grâce à ses cellules spécialisées : ASAP, CÉSAME, Mobilité, Retraite et Guide du contrôleur.
Ces dernières années, le SNCTA a su faire la démonstration du besoin en contrôleurs aériens au niveau politique. Les recrutements ont été augmentés et sécurisés malgré la crise. Les enjeux sont désormais d’anticiper une vague très conséquente de départs à la retraite, de permettre le temps partiel choisi et de remplir davantage de fonctions d’expertise et d’encadrement. Pour cela, le SNCTA défend une augmentation de la capacité de formation à l’ÉNAC et une accélération de la formation dans les centres.
Le SNCTA a été le créateur du statut ICNA. Il a fait progresser les conditions de travail des contrôleurs, a amélioré leurs retraites, a redynamisé leurs carrières et leurs rémunérations, les a protégés de l’inaptitude médicale, etc.
Préserver le pouvoir d’achat de l’inflation est un enjeu permanent, en particulier quand la part des primes dans les salaires est élevée. Le SNCTA défend à la fois le pouvoir d’achat des contrôleurs et une revalorisation de leurs retraites.
Améliorer l’efficacité de la DSNA la protège des attaques politico-médiatiques et protège également l’unité de la DGAC dans la fonction publique d’État. Par sa politique et son action, le SNCTA, syndicat responsable, en est le premier défenseur.
La fatigue sur position de contrôle est une thématique incontournable, notamment en période de fort trafic. Pour s’en prémunir, le SNCTA a défini certains principes protecteurs constituant un cadre expérimental : 8h30 maximum par vacation, 42 heures maximum sur 7 jours glissants, travail en équipe, droit à congés de 25 % minimum toute l’année. Pour autant, le SNCTA n’est pas dogmatique : il veut avant tout que les contrôleurs de chaque organisme puissent choisir entre le cadre règlementaire de 2002 et le cadre expérimental protecteur.
Le SNCTA continue d’exiger que les grands programmes de modernisation technique aboutissent enfin pour enrayer l‘obsolescence des calculateurs et des outils de contrôle. L’expertise des contrôleurs est incontournable et le contact direct avec les ingénieurs en charge de cette modernisation doit être privilégié.
Le SNCTA négocie des accords gagnant-gagnant respectueux d’une vision nationale équilibrée écrivant ainsi, avec les contrôleurs, l’avenir de la profession. Le droit de grève des contrôleurs, régulièrement attaqué, a été considérablement fragilisé par les syndicats qui ne le considèrent pas comme une arme ultime. Le SNCTA, privilégiant la négociation, œuvre au contraire à préserver ce droit durement acquis.
Cotisation : pour quoi ? Comment ?
Toute adhésion participe à la défense de la profession
Qu’elle soit militante, engagée au niveau local ou dans les instances du syndicat, qu’elle soit une participation active en congrès pour débattre et élaborer la politique du SNCTA ou qu’elle soit, plus simplement, un soutien financier, toute adhésion participe à la défense de la profession.
SNCTA : un syndicat d’adhésion, pas de subventions !
Les finances du SNCTA sont constituées à plus de 95 % des cotisations des adhérents. En effet, contrairement aux centrales syndicales dont les budgets sont constitués à plus de 50 % par des subventions, le SNCTA ne reçoit qu'une modeste subvention d’État. Pour exister, le SNCTA a fait de ce handicap une force :
- le SNCTA est un syndicat très représentatif : il est donc à la fois à l’écoute des contrôleurs et plus à même de porter leurs revendications ;
- le SNCTA est apolitique ;
- ses adhérents sont mobilisés, impliqués et solidaires.
Réduction fiscale
Les cotisations syndicales donnent droit à un crédit d’impôts à hauteur de 66 % du total des cotisations versées retenues dans la limite de 1 % des salaires et pensions. Les personnes déclarant leurs frais professionnels réels ne bénéficient pas du crédit d’impôt mais les cotisations syndicales peuvent être intégralement comprises dans le montant des frais déduits.
À quoi l’argent des cotisations est-il consacré ?
L’argent des cotisations sert à financer :
- la communication du SNCTA : site internet, Guide du Contrôleur, brochures d’information à destination des contrôleurs ou des parlementaires, …
- le fonctionnement des cellules (déplacements, tournées d’information, interventions pour défendre des contrôleurs,…) ;
- l'organisation des réunions internes (comité national, travaux des différentes commissions par exemple). Ces réunions de travail sont indispensables à la défense des intérêts de la profession, à une bonne coordination nationale des différentes instances du syndicat ou à l’élaboration de projets ;
- l’achat de matériel nécessaire au fonctionnement des instances du syndicat ;
- les frais d’avocats que le syndicat sollicite pour la défense des intérêts des contrôleurs ;
- l’organisation des congrès qui permettent, tous les deux ans, à chaque adhérent, de venir participer à la réflexion et à la construction de la politique du SNCTA ;
- la caisse de réserve utilisable notamment en cas de grève, afin de défendre le syndicat ou ses adhérents ou encore à des fins de solidarité interne.
Conformément à la loi, les comptes du SNCTA sont certifiés par un Commissaire aux comptes et transmis à l’autorité de surveillance.